L'Autostoppeur [libre]

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Une petite virée à Los Angeles, plus précisément au centre même de la ville où les lumièes étaient la principale attraction. Le jeune homme cherchait spéciallement un endroit où il pourrait se changer les idées, il avait certes des tas de bars dans son quartier mais les mêmes gens dans les alentours, toujours les mêmes influences l'ennuyait quelque peu. Il était désireux de voir quelque chose de différent, mais quoi exactement? Il l'ignorait, à la requête du extraordinaire, du phénoménal sans aucun doute, il pourrait bel et bien chercher ainsi pendant des heures dans son jeep à tourner en rond. Non après un moment, le jeune homme décida tout simplement de rentrer chez lui. Il prenderait une bonne douche et filerait devant son pc à écrire, il était désireux de composer une nouvelle litéraire dramatique. Il le ferait pour sa femme, c'était elle qui voulait voir une de ses oeuvres au grand jour. Il ignorait si cette dernière avait réussi mais cela le rassurait de pouvoir ainsi laisser aller ses émotions et s'adonner ainsi à ses peines. Ce n'était pas l'inspiration qui lui manquait pour le moment, il y avait du tas de vécu et égallement des tas de personnes influentes au point de laisser la plume se charger de l'histoire.

C'est alors que soudainement son moteur se mit à toussoter, quelques bouffées de fumées jaillirent du capot. Il se stoppa net, se dépêchant à sortir de la voiture pour voir ce qui s'était produit. Le moteur semblait être mort. Il était là en plein milieu du chemin ou quelques conducteurs impatients se mirent à klaxonner afin qu'il se dégage de la route.Le beau brun sortit de la voiture et se contenta alors de pousser sa Jeep vers le côté, près du trotoir mais sonregard demeura perplexe, les gens n'avaient fait que klaxonner, aucun d'entre eux ne s'était arrêté pour venir lui offrir de l'aide. Encore une déception, il semblait être soudainement songeur, il ne comprennait plus rien à l'humanité, tout ces êtres si fragiles étaient-ils devenus tous à ce point égoiste pour ne penser qu'à eux seuls? Auraient -il besoin d'autant d'Aide pour être plus rassurés et avoir davantage de confiance en eux au point d'aider les autres? C'était dans sa nature de se proposer en aide, il ne comprennait pas pouruqoi ce n'était pas ainsi avec tout les êtres vivants? Il y avait là une hiérarchie? Des plus forts, des supérieurs et des plus faibles, ne comprennent-ils pas qu'ils sont tous égaux? Qu'ils sont tous faits de chair et d'os? Qu'un jour eux tous mourront? Il faut aider les autres, apprécier davantage les moments qu'ils ont.

Enfin il se rendit à une station service la plus près, il avait oublié son portable, ce n'était pas de chance, il ne pouvait ainsi pas appeller le remorqueur. Il y avait une cabine à l'extérieur, c'est ainsi qu'il fit l'appel. Évidamment à cette heure aucun garage n'était ouvert, il devait être aux alentours de 3 heure du matin, un vendredi soir, il y avait mieux à faire que de réparer un moteur il va sans dire. Baissant la tête, le pauvre commis à la station service qui tentait de son mieux de rassurer le Delmont pour trouver une solution, il fallait tout de même attendre jusqu'au lendemain pour que tout s'éclaisisse. Il faudra donc qu'il prenne soit l'autobus ou bien qu'il fasse du pouce. Sachant pertinemment qu'à cette heure l'autobus prendrerait bien plus qu'une heure. Or tant qu'à attendre aussi bien essayer de trouver une âme charitable en ce bas monde. Il leva son pouce vers les airs et fit un mince sourire lorsqu'une voiture passait. Il fallait s attendre à ce que ça ne marche pas du premier coup.

Après une telle journée, Noah avait manqué collé son poing dans la figure de Jeff. Les patients avaient défilé dans son service de façon hallucinante. Des cas totalement différents, allant de la simple comotion cérébrale à l'amputation ou même au coma... Le jeune infirmier avat essuyé l'angoisse des proches, la colère des malades (un vieille dame lui avait planté un stylo de sac dans la main gauche parce qu'il eut le malheur de lui dire qu'il devrait faire une prise de sang) et le pire de tout, les sarcasmes de son "collaborateur"...

"Allez Harmon, bouge-toi un peu...", "Hé, Harmon, essaie de pas lui envoyer ton portable dessus...", "Ta maman t'a déjà dit que tu était bête ?"... bref le genre d'injonctions qui mettent en boule même le plus tranquille des anges. Bon, Noah était loin d'être le plus sage mais il essayait de se mettre rarement en colère. A la pause, alors que Jeff continuait à parler, il l'attrapa par le col et lui ordonna de se taire. Il obtint gain de cause mais bon, vù la journée de fou qu'ils avaient eu, leur petite entracte s'était faite à 18h30... Et ils finissaient à 19h...

Il fallut à Noah un bon quart d'heure de silence dans sa voiture pour décompresser un peu. Une fois chez lui, il prit une bonne douche qui eut raison de ses nerfs trop tendus. Il n'alluma même pas la télé... il était sûr qu'il n'y aurait rien d'intéressant. Il avait l'impression de faire un métier ingrat alors que son but principal était d'aider les gens... Bien sûr, malgré les gens insupportables, il retenait surtout les petites attentions des autres. Un petit merci, une boite de bonbons parfois, même si Noah ne faisait pas son métier pour des récompenses, il était touché. Non seulement content d'avoir sauvé une vie ou amélioré un peu l'existence du malade mais en plus d'avoir eu quelquechose qu'il n'avait pas demandé.

Ce soir, c'était décidé il irait en boîte de nuit. Il lui fallait oublier ce qu'il avait vécu aujourd'hui. Ce n'était pas les boîtes qui manquaient à Los Angeles. Il se rendit dans un établissement en périphérie de la ville. Il n'aimait pas trop être dans le centre, surtout le soir. Il en profita pour commander un truc sans alcool. Le genre coktail générique. Noah était très rigoureux avec cela. Il ne buvait pas s'il conduisait. Bref, sa soirée se déroula sans encombre, il dansa, profita de cet instant pour se distraire.

Vers deux heures trente passées, il vit l'heure sur sa montre... brusque retour à la réalité. Il fallait qu'il rentre, demain, son boulot l'attendait... et oui, c'était à lui de bosser tout le week-end... L'idée ne l'enchantait pas du tout, à vrai dire... Il remonta dans sa voiture et démarra. Cela faisait un petit moment qu'il roulait et ses yeux commençaient à fatiguer. Surtout ne pas s'endormir... en fait ce fut un détail qui l'en empêcha. Sur le côté d'une station service, un jeune homme faisait du stop. Noah regarda sa montre. Il était plutôt tard pour faire du pouce... et le gars devait être vraiment en rade. Il se gara devant lui et baissa la vitre. Il sourit et dit :

- Bonjour. Je peux vous aider ?

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À cette heure, il était rare que les gens s'arrêtent pour prendre un étranger. Il n'y avait pas à dire avec tout ces vagabons qui traînent dans la rue à récolter de l'argent. Il fallait tout de même pas qu'on le prenne comme tel, il avait mieux tout de même, enfin tout cela pour dire qu'il n'était abaissé au niveau de ces intinérants. Le Delmont avait tout simplement pas eu de chance ce soir et lui qui voulait tellement rentrer chez lui, rejoindre sa colocataire afin qu'elle ne s'inquiète pas trop pour lui, il ne manquait plus qu'à espérer que cette chère Andrea ne soit pas sur ses gardes à l'attendre. Il n'était tout de même aps un enfant non plus simplement à une heure pareille, il devait depuis longtemps être rentré, ce n'était pas ses habitudes que de sortir tard.Le pauvre petit brun attendit patiemment sur la route en levant du pouce, levant la tête à plusieurs reprises afin d'Appercevoir au loin des automobiles, voir s'il aurrait parmis eux une âme charitable. Un grand camion passa son chemin, accélérant presque en voyant le jeune homme. Un de moin pensa t-il. Une telle réaction était tout à fait légitime, après tout s'il voulait voyager il n'aurait qu'à prendre un taxi. Logique non? Logique pour ceux qui ignorent son histoire, mais le pauvre ayant essayé d'utiliser le téléphone de la station service, il semblerait que leur ligne ait quelques problèmes. Ce n'était forcémet pas de leurs fautes, il fallait pas les blâmer pour cela. Lucas trouvera une autre solution, après tout il était assez débrouillard pour trouver des idées nouvelles.

Simplement il ne pouvait pas aller très loin à pied et puis marcher jusqu'à sa demeure s'Avérait être plus long encore que de prendre l'Autobus . Non au moin le temps qu'il patienterait l'autocar, il pourrait rentrer chez lui. C'est alors qu'il vit une autre voiture cette fois qui s'arrêta à un mètre de lui. Ce dernier baissa sa vitre et lui lanca quelques mots à peine audible. Le jeune homme avait bien sur approcher pour voir de quoi il s'agissait et puis bah il fallait croire qu'il avait de la chance ce soir. Les yeux mis clos par la fatigue les bras tombant, il secoua de la tête afin d'y faire un signe positif pour la question. Évidamment qu'il avait besoin d'Aide. C'était bien plus visible dans son regard et dans sa manière agir, alors pourquoi répondre. Il s'Agissait bel et bien d'une évidence, sinon autrmenet il ne serait pas là à lever du pouce pour embarquer. Il détestait faire cela, après tout il avait une voiture, nan ?

-Hum ouais, quelques soucis de voiture, le tout sera remis à demain matin, j'aurais besoin de rentrer simplement.

Sans trop donner de détails, le Delmont avait expliquer sa situation. C'était tout de même nécessaire, l'Autre homme pouvait croire qu'il ne faisiat cela que pour abuser et se rammasser au nouveau Texas ou un truc du genre, alors qu'il ne désirait qu'entrer dans sa demeure. Quoi qu'il en soit, le jeune homme avait su donenr le strict nécessaire pour faire jouer en sa faveur la bonté de l'inconnu. Tout les deux semblaient être du même âge, ils avaient aux premiers abord un certain air de ressmeblance dans leur caractère. Tout les deux ne semblaient être nullement portés à être alerte ni même surexcité, non le tout avait était dit dans le calme, ce qui était tout à fait bénifique pour Lucas qui craignait d'être ramassé par un vieux saoulon ou un jeune dans la drogue, à cette heure il devait être difficile de toruver autre chose de toute manière.

-Je sais, ce n'est pas un taxi, je vous payerais plus, c'est pas un problème, je ne rien que rentrer chez moi, il n'y a rien d'Autre

Il s'empressa de dire tout cela, pensant que la ville regorgeait de petits êtres malsains et malveillant, aussi bien mettre les gens à risque à l'écart de toute cette masquarade, sous les airs parfois les plus innocents se cachaient de véritables démons. Enfin Lucas ne cherchait que mettre en confiance l'autre brun, c'était la moindre des choses, déjà qu'il se présente et qu'il arrête directement pour le ramasser détonnait déjà d'un miracle, alors s'il fallait que le Delmont joue les imbéciles, il perderait ainsi toute opportunité et se retrouverait toujours dans la case départ de son échec, le manque de confiance aux autres,toujours demeurer renfermé sur lui même. Cet arrêt devait sans aucun doute être un test.

- Ok, ok... Pas de problème ! Je rentre chez moi aussi, je peux vous déposer. C'est grisant lorsque votre voiture vous lâche alors, si ça peut vous éviter de passer la nuit dehors, ou à attendre un autocar...

Noah avait dit ça pour que Lucas se rassure aussi. Il avait senti un peu de méfiance, ce qui était normal, en pleine nuit, à cette heure... Il avait pris soin de le regarder discrètement pour voir s'il n'avait pas affaire à un tordu. Un genre de camé, qui ne cherche qu'une chose vendre ou voler sa voiture. On avait beau dire que la charité disparaissait, il fallait comprendre les gens. Certains agressaient les conducteurs et proposaient même parfois de payer en nature... alors que Noah se moquait qu'on le paye ou pas. Lui, faisait ça par devoir et avec plaisir. D'ailleurs à ce sujet, il lui dit :

- Il est hors de question que vous me payez. Sinon, je m'en vais en cinquième vitesse. Alors, choisissez : ou vous acceptez que je vous conduise et vous oubliez cette idée saugrenue, où vous restez là à lever votre pouce...

Il lui adressa un sourire amical. En le regardant de plus près, Noah s'aperçut qu'il était vraiment exténué. Il se pencha pour lui ouvrir la portière. Le fait qu'il soit ausi fatigué que lui l'avait probablement aidé à lui laisser le siège plus rapidement. Noah ne pouvait s'empêcher de penser que le jeune homme avait besoin d'aide et de charité. En y réfléchissant après coup, le jeune Harmon n'avait fait que son devoir.

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Lucas était à ce point exténué qu'il ne parvenait pas à comprendre totallement le sens des paroles du jeune homme. pourtant il était clair dans ses propos, il n'y avait rien à comprendre, rien à assimuler simplement écouter et hocher de la tête pour affirmer qu'on pigé ce qu'il insinuait. Lucas devait faire franc jeu avec lui, ça serait pas malin de lui faire croire qu'il était de ces alcooliques qui passaient leur vie à être saoul et à se faire traîner chaque soirs de la semaine par des gens qui les prennent en pitié et qui pensent faire une bonne action pour l'humanité. Non Lucas était loin de nécessité de charité, encore moin de la pitié, il en avait même horreur. Le pauvre homme lui ouvrit même la porte, se montrant tout à fait compréhensif, après tout s'il ne l'aurait pas fait je doute fort que le Delmont aurait été en mesure de le fiare. Enfin ce n'était tout de même tout le monde qui serait prêt à faire un tel geste de gentilesse. C'était sans aucun doute un type bon, il ne devait pas le juger de la sorte, après tout il s'était fait avoir à plusieurs reprises croyant des sotises, faisant confiance à des êtres malsains. Il était naif le petit, il n'avait jamais fait gaffe à sa propre générosité, il ne s'était jamais soucier que les autres individus regorgeaient de mauvaises intentions et que dans le fond il ne faisaient que profiter de sa naiveté. Le jeune Delmont bafouilla quelques paroles rapidement, articulant à peine, ses lèvres se voulaient d'être closes et son souffle plutôt long, les petits yeux qui luttaient pour demeurer éveillé.

-Ouais...c'est tout à fait merveilleux Avait-il dit au hasard

Il avait longtemps que notre cher ami avait dépassé ces heures de fou à fêter avec des copains jsqu'à lever du petit matin alors qu'ils devaient bosser le lendemain, ils arrivaient tous crâmés et les yeux rougis de la fatigue ils avaient l'air de véritables crétins, assimilant à peine ce que leur dictait les clients de l'Université. Ses élèves se moquant de lui à plein nez, pourtant fêter aussi tardtait pour lui un signe de liberté surtout lorsqu'il avait acquis ses 18 ans, c'était le délire total. Les Delmonts ne pouvaient plus espérer le voir dormir dans son propre lit, il était toujours sorti. Enfin cela lui rappellait tout de même d'excellents souvenirs de sa jeunesse. Il N'était tout de même pas un papy, mais ce petit être avait déjà assez de vécu pour se considérer comme tel,fini les folies, plus la peine de préciser qu'il avait définitivement un horaire fixe et que ce soir il ne restait pas les heures indiquées c'est pouruqoi il avait les yeux pochés et un mal de tête flagrant.

C'est alors que son interlocuteur l'invita à ne pas payer sous peine de demeurer sur le chemin à lever du pouce jusqu'à qu'une autre âme charitable se pointe ce qui devait probablement prendre le même temps que l'Autocar. Bon définitivement il n'Aviat pas le choix, cet individu lui faisait confiance au point de le laisser entrer ainsi dans sa voiture pour le reconduire chez lui sans aucune requête. Son comportement était tout à fait étrange, Lucas ne le comprenait pas tout à fait, il sembalit tout simplement différent, le pourquoi devmeurait très vague mais c'était définitivement un être mature et remplit de bonnes intentions. Peut-être bien qu'il avait un de ces passés troublants au point de vouloir répandre le bien plutôt que le mal? Lucas ne s'Attarda pas sur la question se hâtant d'entrer dans la voture dont il femra la porte rapidement. Le coup de la porte le fit un saut, il n'avait pus sommeil désormais, ce fut fatal. Le Delmont regarda l'autre étranger en esquisant un mince sourire.

-Trop généreux peut-être, peu de gens apprécierait ce geste, parfois il faut leur demander quelque chose pour s'Assurer de leur nature ne croyez-vous pas? Quant à moi, je ne veux que rentrer et je me nomme Lucas Delmont

Il avait déjà dévoilé son prénom et nom, ce qui était très rare pour une première rencontre, simplement le jeuen individu était mal à l'Aise avec son interlocuteur, il ne comprenait pas le pourquoi de son geste, surtout pour son âge, il n'était pas vieux

Noah se demanda un instant si le gars n'était pas défoncé à l'herbe... Il ne comprit pas ce que venaient faire les mots "c'est tout à fait merveilleux". Mais de quoi parlait-il ? Il le regarda, pour voir ce qui clochait. Et puis, l'homme entra dans sa voiture, après un instant de réflexion. Il claqua la portière et cela eut l'air de le réveiller, puisqu'il lui parla plus clairement. Le jeune Harmon avait tendance à accorder sa confiance assez vite. Il n'était pas niais, bien au contraire, il croyait en la bonté profonde des personnes. Si cet homme avait été mauvais, au fond ? Il resta pensif un instant, ne sachant guère quoi en penser. De toute façon, c'était trop tard : Lucas, puisque tel était son prénom, était dans sa voiture.

- Moi c'est Noah Harmon. En fait vous ètes mon premier auto-stoppeur. D'habitude, quand je m'arrête pour prendre des hommes, ils me disent poliment qu'ils attendent une jolie femme... donc... bon. Et lorsque c'est des femmes... bah en fait je m'aperçois qu'elles ne sont pas... enfin qu'elle se vende... mais, pour vous, je me suis dit, à cette heure-ci, ce gars doit être dans un pétrin monstre pour rentrer chez lui.

Il parlait mais ne faisait même pas attention au fait qu'il soit encore arrêté. Il reprit ses esprits et étouffa un baillement. Il languissait d'être couché. Il accrocha sa ceinture à nouveau, il l'avait enlevé pour ouvrir la portière côté passager et dit à Lucas :

- Je ne suis pas un chauffard mais vous devriez attacher votre ceinture, on n'est jamais trop prudent. C'est une chance que je sois passé par là, au moins, vous ne dormirez pas dehors. C'est le problème avec les voitures, elles nous lâchent toujours lorsque l'on en a le plus besoin.

Il se rendit compte qu'il parlait un peu trop. Si l'homme assis à côté de lui avait sommeil, ce serait difficile de ne pas le saôuler... Il s'excusa alors :

- Désolé... si je parle un peu trop... mais ça m'évite de m'endormir...

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