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 Bradford Stephenson

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Brad Ste
Invité




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MessageSujet: Bradford Stephenson   Bradford Stephenson Icon_minitimeJeu 2 Aoû - 13:11

I- L’Immortel




Nom :Stephenson
Prénom(s) :Bradford
Surnom(s) :Brad
Date et lieu de naissance : 20/05/1974
Âge : Théoriquement 33 ans. Physiquement, 25.
Date de décès : 30 septembre 1999


Rang :Démon supérieur


Caractère : Brad est un adorable petit démon ; il sait absolument ce qu’il veut, et c’est ce qui fait son charme : il peut déployer des trésors de persuasion pour convaincre quiconque de lui donner ce qu’il désire. Rares étant ceux qui se souviennent l’avoir vu énervé, Brad est en effet parfaitement maître de lui-même, du moins la plupart du temps. Il s’exprime toujours avec un ton calme, jovial, et ne se laisse pas démonter facilement, répondant la plupart du temps avec un humour fin. D’ailleurs, Brad coupe généralement la moindre protestation d’un sourire entendu. Il est en effet particulièrement narcissique, et ne peut s’empêcher de s’auto féliciter, voire, de sourire à son reflet lorsqu’il passe devant un miroir. En effet, malgré son assurance, il reste tout de même la seule personne de sa connaissance à qui il fait vraiment confiance. Nombreux sont ceux qui ne peuvent d’ailleurs pas supporter ce sourire suffisant et cette attitude supérieure, mais Brad est persuadé de sa réussite, et ne fait rien qui pourrait lui nuire; Ou presque. Malgré son statut de démon, il ne se plait pas particulièrement à torturer autrui, et pratique sa corruption en douceur. Considérant cette histoire de mortalité comme un business, il ne déteste pas particulièrement le camp adverse, et rien ne l’empêchera de saluer un ange de sa connaissance, ni même de discuter avec. C’est d’ailleurs pourquoi il fréquente John Silver. Bien sur, en tant que calculateur sûr de lui, il ne supporte pas de perdre, ou de voir un projet tomber à l’eau.
Ça le met dans une colère noire, et Dieu sait (car Satan le préfère plutôt comme ça), qu’il ne vaut mieux pas mettre Brad en colère : il est alors sujet à de violents accès de violences et laisse aller son petit coté cruel.
Entre autres.


Physique : Brad, de son vivant était plutôt grand : il n’avait pas de problème avec les femmes de plutôt grande taille, et a toujours été parfaitement satisfait de tous les aspects de son physique, qu’il cultivait assez, bien que ne sombrant pas non plus dans l’obsession. Mince, il est finement musclé, et n’a pas un gramme de graisse : de son vivant, le jeune homme qu’il était faisait plutôt attention à son alimentation, ne tombant pas non plus dans l’excès. De longues jambes fuselées, un ventre plat, de longues mains aux ongles parfaitement coupés et aux doigts fins, sont les points principaux de l’apparence physique de Brad. Niveau visage, on remarque tout de suite son large front, ses cheveux coupés avec goût dont la couleur penche vers un savant mélange noisette, un regard bleu azur qui possède toujours une certaine lueur, ainsi de des lèvres fines affichant la plupart du temps un petit sourire entendu, et un menton légèrement fendu hérité de son cher père terminent la description de cet homme dont l’apparence à tout de celle du dandy anglais qu’il était autrefois.

Histoire Mortelle :Difficile d’imaginer notre petit Bradford en bébé joufflu et c’était pourtant le cas lorsqu’il naquit en ce beau mois de mai 1974 à Oxford, Angleterre. Malgré son actuelle perfection, il faut savoir qu’autrefois, le petit garçon qu’il était n’aurait pas dû dépasser les limites de la prime enfance.
En effet, né d’une mère dépressive, et apparemment d’après ce qu’on avait pu lui laisser entendre toute sa jeunesse d’un viol, sa très chère génitrice détestait son marmot qu’elle avait eu à l’age de 15 ans seulement. Ainsi, l’enfance du petit Brad nommé ainsi car c’était le premier nom qui était passé par l’esprit de sa mère, grandi dans une atmosphère de cris et de pleurs tout à fait pathétiques. En effet, sa mère n’acceptant pas vraiment le fait d’avoir eu un enfant si jeune, d’autant plus qu’elle était promise à un bel avenir en tant que fille de riches notables, elle fut considérée pour une honte pour sa famille qui, bien évidemment ne voyait pas l’enfant comme une bénédiction, loin de là.
C’est la raison pour laquelle Bradford ne connu pas ses grands-parents avant l’age de dix ans. Décrivons son enfance avant cette douce période : le petit garçon était plutôt précoce, et heureusement, car sa mère ne lui avait jamais donné que le strict minimum. A deux ans, le petit qu’il était allait déjà se nourrir tout seul, certes, non en allant faire les courses, mais en se servant dans le réfrigérateur et en se faisant lui-même des sandwichs, maladroits, certes, mais qu’attendre d’un gosse dont la seule forme d’éducation qu’il recevait lui envoyait des livres à la figure à chaque fois qu’elle le voyait?
Ainsi, il passa sa prime jeunesse enfermé dans sa chambre. Pas de jouets, puisque sa mère ne voyait pas vraiment l’intérêt de lui en acheter. La seule chose qu’il avait alors à disposition était la télévision ( qu’il regardait uniquement lorsque sa mère était sortie, cette dernière ne supportant pas le bruit qu‘il pouvait faire ) et les livres.
Après avoir terminé de feuilleter le dictionnaire riche en images, et toutes les encyclopédies possibles que comptait l’appartement maternel, il se dit qu’il serait plus avisé d’apprendre à lire.
A quatre ans, sa rencontre avec une vieille voisine améliora un peu le quotidien : le petit garçon avait oublié les clés de l’appartement en sortant les poubelles, et était resté dehors, devant la porte, une expression de calme profond d’où ne transparaissait pas la moindre frayeur d’être resté dehors. Ça n’était pas comme si il craignait les foudres maternelles : sa mère était toujours en colère contre lui. Et déjà, il savait pertinemment que pleurer ne lui servirait à rien, et que c’était de sa propre faute si il était dehors.
La vieille femme qui avait vu ce petit garçon si calme, lui avait proposé de venir attendre sa mère dans son appartement, ce qu’il fit. Expérience qu’il renouvela souvent, car quel contraste entre la demeure froide et impersonnelle de sa mère, et ce lieu plein d’odeurs et de couleurs qu’était l’appartement de madame Newton? Il découvrit de nombreuses saveurs puisque sa mère ne prenait pas la peine d’acheter des mets adaptés pour les enfants, et elle lui apprit à lire avec une vitesse étonnante.
Ainsi, lorsqu’il eut six ans, son entrée en école primaire fut assez vite remarquée : « votre enfant est un génie » avait-on dit à sa mère des les premiers jours.

Comme si elle en avait quelque chose à faire.

Le petit garçon qu’il était avait commencé à nourrir une rancœur assez conséquente à l’envers de sa mère : chose purement normale, cette dernière ne lui parlait que pour l’insulter, ne lui avait jamais témoigné la moindre affection, et était d’un égoïsme sans bornes qui contrastait avec les mères si aimantes de ses camarades dont il avait le criant témoignage à chaque entrée et sortie de cours.

Comprenez donc, que, si Bradford est devenu un démon, aujourd’hui, c’est purement à cause de son éducation. Il lisait de plus en plus, des lectures plus approfondies qu’il comprenait avec une vitesse étonnante. Et, lorsqu’il eut huit ans, il décida que la vie sans sa mère serait beaucoup plus joyeuses.
Après tout, il avait lu de nombreux ouvrages, et avant envié les sorts du petit lord Fautleroy, de Rémi dit ‘sans famille’, d’Oliver Twist et bien d’autres encore : ces enfants s’en étaient tous beaucoup mieux sortis sans parents, et avaient réussi à obtenir une aisance qui n’était pas négligeable.
C’est huit ans qu’il décida de se débarrasser de sa mère, mais à dix qu’il passa à l’action, prenant les deux années d’intervalles pour réfléchir à un plan d’action. Après tout, lui n’avait jamais vécu de merveilleux noël comme en parlaient ses camarades. Il n’avait jamais eu de merveilleux cadeaux et n’avait jamais vu une quelconque marque d’inquiétude sur les traits de sa mère, lorsqu’il lui arrivait de mettre sa vie en péril.
Le petit garçon savait très bien ce qu’engagerait la mort de sa mère, mais il n’avait pas le choix, tentant mille fois de se donner une raison qui montrerait qu’elle avait, peut-être, une certaine forme d’amour pour lui… En vain.
Sa mère le détestait, et il avait décidé de le lui rendre.

Leur appartement se situait au vingtième étage d’un vieil immeuble londonien. Il comportait un balcon à la barrière contre laquelle sa mère s’appuyait souvent pour fumer une cigarette : il avait suffit au petit garçon de fragiliser la dite barrière. Deux ans, on avait dit, pour le faire en toute discrétion. Et en cette soirée de Novembre, il avait quitté sa chambre au moment ou elle s’y appuyait. Il avait pu voir l’expression étonnée de son visage tendit qu’elle sentait son poids l’emporter.
Le petit garçon, un sandwich dans la main, la regarda tomber, tendit qu’il mâchait tranquillement son pain. Les sandwichs du petit garçon était à présent parfaitement symétriques et aurait pu être servis dans un restaurant : ils étaient parfaits, forcement, depuis le temps qu’il en faisait…
Il avait regardé sa mère se tenir à la barrière, les jambes dans le vide. Il s’était encore approché, et était venu s’asseoir sur le balcon, à même le sol, mâchant toujours son casse-croûte tendit que sa mère lui demandait de l’aide. Elle l’avait supplié mais avait compris, en voyant le regard bleu de son fils qui était devenu d’un noir terrifiant, qu’il ne l’aiderait pas.
Et elle avait fini par lâcher, pour aller s’écraser 20 étages plus bas, sur le capot d’un taxi.

On avait retrouvé le petit garçon dans cette même position, assis sur le balcon, le sandwich à la main, glacé par le vent de novembre et les yeux rivés sur le corps de sa mère, ou plutôt son sang sur le capot (elle avait été évacuée). Il n’avait pas pu bouger.

Et on avait mis ça sur le compte du choc.

Cette nuit là, il avait dormi chez madame Norton, le sommeil plus paisible que jamais. Puis, il avait été placé une semaine dans un centre social, en attendant que l’on retrouve de la famille éventuelle : ses grands parents.
Il avait eu une adolescence comme il l’avait toujours désirée, et n’avait jamais regretté ce qu’il avait fait. Sa famille était bien lotie, il n’avait donc aucun problème d’argent, se contentant d’afficher cette perfection qu’il était à présent.

Après des études brillantes, il entra dans une prestigieuse école de droit en angleterre. Meilleur dans toutes les matières, il apparu néanmoins une ombre dans son tableau de perfection ; un rival, qui l’empêcherait d’atteindre l’un des buts de sa vie. Et un soir de pluie, le regard noir réapparu, annihilant totalement la prunelle bleutée. Le lendemain, le corps de son rival fut retrouvé, en morceaux. Qui aurait pu soupçonner Bradford? Ils étaient tous deux si proches? On conclut qu’il s’agissait d’un accident, et notre jeune Brad fut prié par les parents du défunt de présider la veillée funèbre. « Il vous aimait tant », avait lâché la mère, en larmes.

Mais à vingt-cinq ans, un soir de pluie torrentielle, un an exactement après sa « dernière crise de haine », il trépassa, le plus bêtement du monde. Il venait de demander en mariage une fille à la dot tout à fait intéressante qu’il n’aimait même pas. Bradford n’avait jamais véritablement aimé, ressentant, au grand maximum, une très grand affection pour quelqu’un. Elle avait donc accepté, et les voilà main dans la main, traversant un passage piéton après un délicieux dîner au restaurant.
Un chauffard, que personne n’avait vu, venait de renverser les deux jeunes gens. Bradford mourut sur le coup, tendit que la jeune femme fut gravement blessée, et aussi pas mal estropiée.

Histoire Immortelle : Bradford avait du mal à ouvrir les yeux, son corps qui, une seconde plus tôt, était totalement trempé, semblait passer à travers la pluie torrentielle qui l’entourait pourtant. Assis sur ce dur sol, il regarda autour de lui, entendant de nombreuses voix qui l’entouraient. Des lumières, beaucoup.
Il se leva, vaguement affolé : que se passait-il? Les gens ne semblaient même pas se rendre compte de sa présence, ce qui paraissait totalement impossible. Fendant la foule, ce qu’il vit lui porta un coup assez violent : Lui, allongé sur le sol, le visage en sang. Il manqua de lâcher un juron.

« Et le type qui a fait ça s’est enfui? »

Ah oui? Enfui, hein?
Il semblait que Bradford ne réalisait pas totalement sa condition. Normal, me direz vous. Il avait juste comprit qu’il était mort, un peu comme ce type, dans Ghost. Et ce voir mort était assez douloureux pour un ego aussi démesuré que celui de Brad. Qui lâcha néanmoins un sourire lorsqu’une voix se fit entendre : « il devait être plutôt beau… Quel gâchis! ».

Une main se posa sur son épaule, tendit qu’il se demandait comment traquer celui qui avait brisé l’accomplissement d’une vie entière. Il venait de se fiancer, d’entrer comme associé dans une prestigieuse chaire d’avocats, et voyait son avenir dans une splendide baraque blanche, sa femme organisant des cocktails, et lui montant en grade jusqu’à finir au gouvernement. Il la tromperait, elle le soupçonnerait, mais ils seraient tout de même liés par cette merveilleuse chose qu’était le mariage d’intérêt.
Son regard qui s’était assombri, reprit une couleur azur en se retrouvant devant une sublime créature, aux lèvres tentatrices, qui s’avérait se nommer Asmodée, une démone supérieure.
Elle tenta de lui expliquer ce qu’il faisait là. Sa soif d’apprendre fut la plus forte et la première personne qu’il tua fut le crétin qui avait abîmé son si parfait visage. Ambitieux, comme dans sa vie d’humain, il arriva assez vite au statut de démon supérieur, et s’en contente, pour le moment.

Comme on l'a dit plus tôt, il se fiche un peu de la différence enfer/paradis du moment que ces charmants angelots ne viennent pas se mettre en travers de sa route. C'est d'ailleurs pourquoi il n'a pas de scrupules à deviser avec John Silver, qu'il ne voit pour l'instant pas comme une menace, ce qui explique pourquoi il n'a pas été promu au rang de bras droit. Bien sur, pas mal de démons voient ça d'un plutôt mauvais oeil, comme cette Sarah Peterson qui semble vouloir le discréditer aux yeux de Monsieur le Maître... Heureusement que ce dernier comprend pour le moment les motivations de notre Brad, qui jusqu'ici à toujours bien fait son "job". D'ailleurs, il est ces temps-ci sur une nouvelle victime potentielle, une jeune femme nommée Lucy Stone, qu'il fera tout pour attirer du coté mauvais... Et il n'acceptera bien entendu pas qu'elle lui résiste, c'est d'ailleurs pourquoi il prend son temps, l'efficacité primant avant tout le reste...

Goûts du personnage : Amateur de tout ce qui est luxueux, il est friand d’ouvrages philosophiques, de cigares et d’alcools de bon goût. Il ne peut sortir sans être parfaitement bien vêtu, ne supporte pas d’avoir la moindre tache, et adore les femmes, quelles qu’elles soient. Mais bien sur, lorsqu’il est très en colère, il adore faire souffrir. En tant normal, il sera par contre plus propice à freiner le coté sanglant de ses partenaires, alors qu’il peut être mille fois pire.

Signes particuliers :Son regard bleu azur devient très sombre quand il est en colère.

Tatouage (démons seulement) : Signe tribal au poignet droit. Très petit.

Avatar : Jude Law

II- Vous


Comment avez vous connu le forum ?Partenariat
Présence sur le forum : Souvent
Avez-vous lu le règlement ? Chouchou le règlement
Un commentaire:non, super thème, super forum^^


Dernière édition par le Jeu 2 Aoû - 14:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Bradford Stephenson   Bradford Stephenson Icon_minitimeJeu 2 Aoû - 13:50

Bienvenue cheers

Certaines qui se plaignaient de ne pas voir s'inscrire de garçon Razz
Vraiment bonne fiche, pas grand chose à redire sauf qu'il te manque 2 liens.
• Passe du temps avec John Silver bien qu’ils soient pas du même camp
• Sarah Peterson critique son attitude « fraternel » avec l’ennemi
• Aime jouer avec Lucy Stone pour l’attirer du côté du mal

Juste à rajouter ca en quelques lignes dans ton histoire et je valide volontiers !
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Brad Ste
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MessageSujet: Re: Bradford Stephenson   Bradford Stephenson Icon_minitimeJeu 2 Aoû - 14:04

Ok c'est fait^^ merci pour l'accueil Smile
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MessageSujet: Re: Bradford Stephenson   Bradford Stephenson Icon_minitimeJeu 2 Aoû - 14:32

Mais de rien !

Hé bien, c'est parfait !
Je te valide !

Tu peux passer maintenant à la Gestion pour logement et tout le reste ^^
Bon jeu à toi Very Happy
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MessageSujet: Re: Bradford Stephenson   Bradford Stephenson Icon_minitime

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