Oriane Kelly [Humaine]

Caractéristiques personelles

Nom : Kelly
Prénom: Oriane
Surnom: Ori
Statut social: Célibataire
Travail: Étudiante [Pas pour l'instant]
Date et lieu de naissance : 9 juin 1989, Canada
Âge : 18 ans
Race: Humaine

Caractère :

Depuis toujours, Oriane est le style de fille qui sait ce qu’elle veut dans la vie. Ayant un caractère fort et inébranlable, elle sait se faire entendre des autres. Son caractère lui vient du fait qu’elle à toujours voulue se débrouiller seule sans l’aide de personne. Oriane déteste qu’on la prenne en pitié ou que l’on tente toujours de la comprendre. Si elle agit d’une telle façon, c’est parce qu’elle juge que cela est la meilleure chose à faire. Elle assume, en somme. Elle n’a pas besoin d’une mère, d’un père ou d’un gardien pour la guider dans le chemin de la vie.
« Je vis comme je peux, comme je veux. » (Oriane, 2007)

Malgré son fort caractère, elle peut parfois se montrer généreuse et aimable à qui sait bien entrer dans sa vie et à qui sait bien agir avec elle. Plutôt sélective dans ses choix de connaissances, elle peut sembler ne jamais faire confiance à personne. Avec les quelques problèmes majeurs qui sont arrivé dans sa vie, Oriane à apprit à choisir soigneusement ses amis et ses proches et à donner sa confiance uniquement à ceux dont elle est véritablement en confiance. Ce n’est pas une chose facile d’entrer dans sa confiance, justement à cause de son fort caractère. Cependant, la chose n’est pas impossible.
« Entrez, si vous le méritez. » (Oriane, 2007)

Finalement, Oriane est une fille très sensible, malgré les apparences. Pour s’empêcher des problèmes, elle a construit un mur tout autour de ses émotions pour le cacher à quiconque voudrait le franchir. Elle n’aime pas montrer ses émotions et lorsqu’elle sent qu’elle perd son contrôle, elle fuit, tout simplement. La fuite est devenue une chose plutôt fréquente dans son cas. Même si sa mère à toujours voulue qu’elle consulte un psychologue, Oriane n’a jamais voulu dévoiler son cœur. Quoique le dernier psychologue à presque réussit…
« Laissez-moi, seule. » (Oriane 2007)


Physique:

Oriane est une personne assez petite, elle ne mesure que 5 pieds 1. Majoritairement, les jeunes de son âge la dépassent toujours. Ses longs cheveux roux sont un atout bien à elle qui fait son charme. Ses cheveux sont toujours plats et assez bien soigné, quoiqu’il n’est pas rare de les voir légèrement ondulé (Celles qui ont les cheveux plats voudraient toujours les voir ondulant, non?). Ses yeux sont d’un brun profond et ses traits sont plutôt fins, ce qui la rend toujours plus jeune que son âge. Ses lèvres sont pulpeuses et elle aime bien mettre un peu de brillant à lèvres dessus. Oriane est plutôt une fille mince et sa carrure est plutôt svelte.

La première chose qui frappe les gens, lorsqu’on la voit pour la première fois est son look. Le style rebelle et punk qu’elle aborde font ressortir son fort caractère et le dégoût pour ceux qui se laissent porter par la société. Elle porte souvent des vêtements sombre qui rappelle un peu le style gothique, cependant, Oriane ne s’est jamais considéré comme tel. Il n’est pas rare de la voir, non plus, avec ses grandes bottes qui remonte jusqu’à ses genoux. Néanmoins, il lui arrive de porter des vêtements de style plus normal, lorsqu’elle sort à un endroit ou lorsque l’envie lui prend. La seule chose qu’elle n’aime vraiment pas porter, son des robes, qui lui empêche trop de mouvement. Côté bijou, à son petit doigt, elle porte une bague rouge qui rappelle un peu le style médiéval et à son majeur, un anneau doré. À son cou, est attaché un collier avec une croix de style gothique.
« Comme ont dit, l’habit ne fait pas le moine. C’est le moine qui fait l’habit. » (Oriane, 2006)


Histoire:

Née au Canada, plus précisément en Colombie Britannique, Oriane à vécu tout son enfance jusqu’à aujourd’hui. Au moment de sa naissance, tout dans sa famille allait pour le mieux. Son père, Jean Ducharme, était avocat et travaillait dans un cabinet renommé de Vancouver. Quant à sa mère, native des États-Unis, Mary Kelly, travaillait comme secrétaire dans le même bureau que son père. C’est précisément dans ce même immeuble, qu’ils se rencontrèrent avant de se marié, 2 ans plus tard, et d’avoir Oriane quelques temps après leur mariage. Loin de croire que Oriane ne vivait pas aisément, au contraire, elle vivait moyennement bien.

Ses parents ne lui donnèrent pas une éducation équitable, un peu contradictoire. Son père, Jean, préférait d’avantage que sa fille sache prendre des décisions et être forte dans tout ce qu’elle entreprend. C’est pourquoi Oriane s’est développé un fort caractère pour prendre sa place. D’ailleurs, son père fut toujours son modèle principal et ils étaient tous les deux très proche. Dès son plus jeune âge, c’est avec son père qu’elle jouait le plus ou qu’elle suivait le plus. Malgré son travail chargé, il trouvait toujours un moment pour elle. Le destin avait vraiment bien joué pour elle. Cependant, quant à sa mère, elle n’était pas aussi souple avec elle. Puisque Oriane était une petite fille, peut-être que Mary, sa mère, se disait qu’il valait mieux la faire devenir petite fille modèle. C’est pourquoi, elle lui apprit bien vite à être propre et bien élevé.

À l’école, Oriane tentait toujours de faire du mieux qu’elle pouvait. Ses notes étaient tout ce qui était de plus normal. Elle n’était pas dans les meilleurs, ni dans les plus nuls. On disait d’elle, dans son cas, qu’elle ne donnait pas assez d’effort, mais juste assez. Mary n’était pas tout à fait d’accord avec sa fille, mais Jean, lui, donnait toujours l’impression qu’il était extrêmement fier de sa fille. Malgré tout, Oriane se consola en se disant qu’il y avait au moins une personne de fier d’elle dans la famille. En plus de la pression de sa mère, Oriane dut apprendre très tôt l’anglais et le français. En arrivant au secondaire, elle était maintenant parfaitement bilingue et ses cours d’anglais lui furent retirés.

Comme toute fille, elle dut avoir sa crise d’adolescence. Pendant que ces changements corporels s’effectuaient. Elle semblait avoir un peu plus le mal de vivre. Lorsqu’elle en parlait à son père, Oriane disait que cela venait du fait que sa mère exagérait toujours tout. Lui, toujours fidèle amoureux de sa femme, disait que Mary faisait toujours de son mieux pour la rendre meilleure. Puisque son père le disait, Oriane voulait bien le croire. Malheureusement, elle ne fut jamais bien auprès de sa mère. Malgré tout, elle continuait de l’aimer. Oriane avait tenter plusieurs trucs pour se rapprocher de sa mère, mais en vain. Ce qu’Oriane n’a jamais su, c’est que sa mère avait autant le mal de vivre, car elle n’avait jamais pu bénéficié d’une bonne enfance. Elle ne voulait que montrer à sa fille qu’elle était une bonne mère. Ce mal de vivre, elle ne le lui dira jamais. Jamais.

Comme le cycle de la vie l’indique, toute chose à une fin, or, en 2001, son père, Jean, mourut d’un meurtre. Oriane le sut lorsqu’elle allait avoir ses 18 ans, voilà quelques mois. Son père, avocat, aurait été tué par un meurtrier qui n’était pas vraiment content de s’être fait condamné au plus haut point par sa faute. C’est ici, le 2 juin 2007, que sa vie bascula. Son modèle venait de mourir. Lorsque tous les problèmes (le tribunal, les funérailles, l’enterrement, etc.) fut terminé, sa mère voulait maintenant fuir le pays. Cependant, Oriane ne voulait pas. Une énorme dispute éclata entre la fille et la mère. Elles se reprochèrent toutes sortes de choses, elles s’insultèrent au plus haut degré. Et puis, pendant la nuit qui suivait la dispute, Oriane fit une chose dont elle aurait du faire voilà longtemps.



Elle prit un sac, rangea toutes les choses qui étaient le plus précieux à ses yeux, vola quelques billets à sa mère (voire beaucoup de billet de 100$), puis quitta sans se retourner la maison. Oriane ne supportait plus de voir sa mère pleurer, elle ne supportait plus ses crises imprévisibles et son mal total de vivre. Elle avait besoin de plus. Elle ne voulait plus voir le psychologue qui commençait vraiment à la comprendre, elle détestait cela. Oriane avait besoin d’aller en avant, elle. Fuir le passé. C’est donc ainsi, qu’avec simplement un sac de bagage et 4 milles dollars, qu’elle fuira le Canada. Ne sachant pas, a priori, où allez, elle errera quelque peu à Vancouver. C’est ce qui nous amène à un autre tournant de sa vie.

C’était le soir, lorsqu’elle se rendait à l’aéroport. Après avoir vu une pub de Los Angeles, la ville qui ne dort jamais, elle avait tout simplement décidé de s’y rendre. Oriane s’était installé sur un banc en attendant l’avion. Soudainement, elle avait sentit une douleur sur son omoplate gauche. Le souvenir de cette douleur lui revint subitement en mémoire. Elle avait à peu près 14 ans lorsque ces douleurs avaient commencé à entrer dans sa vie. Une espèce de marque, une lune avec un tentacule qui sort du milieu était apparue sur son omoplate. Elle avait eut un mal de fou à expliquer à sa mère pourquoi elle avait ce tatouage (Celle-ci croyait que sa fille se l’était fait faire). Oriane avait tenter de l’expliquer à ses parents, mais ils n’y avaient pas cru. Elle avait simplement dit qu’elle avait voulu un tatouage. Quoiqu’il en soit, elle ressentait rarement cette douleur, mais lorsque cela arrivait, elle se sentait si mal que cela l’insistait à fuir. Néanmoins, lors de cette nuit a l’aéroport, cela c’était fait sentir que quelques secondes.

Que lui arrivait-il?

Qui sait? C’est avec l’émotion et l’excitation de l’inconnu qu’elle entreprit alors d’entrer dans l’avion. Derrière elle, un type un peu trop louche la suivait. Pourquoi ressentait-elle toujours un léger picotement à son omoplate gauche?


Goûts du personnage :

Ce qu’Oriane aime le plus est de s’enfermer sur soi-même écoutant son MP3. Lorsqu’elle écoute de la musique, elle se sent dans son propre monde où personne ne peut l’atteindre. La musique qu’elle écoute, généralement, peut être du celtique ou tout autre musique qui n’est pas trop violent. Elle déteste le hard métal, préférant d’avantage la musique qui à un sens à ses yeux. Qui plus est, elle n’écoute ni le rap et ni le pop, pensant que cela n’est bon que pour faire de l’argent.

Ensuite, Oriane est une fille un peu solitaire qui à besoin, quelque fois, d’être seule. Plutôt renfermé et réservé, elle aimera aussi prendre un peu de recul en évitant les regards et les questions des autres autour d’elle. Il faut impérativement de l’isolement si elle veut replacer ses idées en ordre et se sentir plus ou moins bien dans sa peau. Sinon, lorsqu’elle est seule, elle défoule ses envies dans le dessin. Quel bon moyen de donné du sens à une feuille vierge? Peut-être deviendra-t-elle dessinatrice plus tard?

Pour ce qui est de ce qu’elle déteste, Oriane est une personne qui n’aime pas être prit en pitié et qui déteste royalement les personnes qui veulent se penser supérieur aux autres. L’hypocrisie est une autre chose qu’elle déteste par-dessus tout et c’est pourquoi elle hait les chats, car cela lui rappelle trop ce comportement qui est inacceptable pour elle.

Signes particuliers :

Oriane n’est pas quelqu’un de très extravagant, cependant, elle porte un tatouage sur une omoplate gauche. Elle ne sait pas d’où cela lui vient, cependant, elle sait qu’elle ressent parfois une légère douleur. Malgré tout, elle ne saurait dire ce qui l’enclenche. Cependant, il est déjà arrivé de parler à un homme dans la rue et de sentir cette douleur, elle avait du prétexté qu’elle était pressée et de partir soudainement. Étrange…

Avatar : Stacey Farber

Présence sur le forum : 7/10

Avez-vous lu le règlement ? [OK]

Un commentaire: Sans commentaire? Nhaaa je blague, j’espers qu’il reprendra vie ce forum!

Rebienvenue

Je valide sans soucis, des joueurs de cette trempe on les laisse pas filer ^^