Contexte

Los Angeles.
Un nom paradoxal pour une ville qui l’est tout autant.
Au premier abord, tout y est normal : les hommes font leurs vies, avec des bons comme des mauvais choix et accusent la fatalité de leur malheur. Ils vont au travail, ont une famille, des amis, de la joie, de la peine, du bonheur et des problèmes. Une vie d’humains quoi.
Ce n’est qu’en apparence.
Dans leur entourage, qu’ils soient justes accompagnateurs ou se glissant dans leur cercle d’amis, anges et démons veillent et recrutent. Oui, les anges et démons existent, ils se cachent sous des apparences humaines. Adieu les ailes, auréoles, queues et autres cornes, ils se fondent dans la masse. Ils vont faire leurs courses, vont travailler, ont des amis, … Ils sont juste un peu plus purs ou plus vicieux que la moyenne de la ville, un aura qui les entoure. Ils sont là pour guider ou pervertir selon leur camp, avec un plaisir infini et une volonté de faire.
Entre eux, ils ne se connaissent pas bien que certains surveillent les mêmes personnes. Impossible de distinguer ange et démon. Dans le même camp, ils se connaissent plus ou moins car ils vont dans les mêmes QG, ces derniers déguisés sous forme de société aux noms plus qu’explicitent : DPF&SE© Company, comprenez Dieu Père Fils&Saint-Esprit Company et Sat’Agency.
Dans une guerre plus ou moins pacifiques, tous les coups sont permis sous les yeux des deux grands maîtres omniscients. L.A. est le champ de bataille des deux camps adverses.
Qui l’emportera ?

Depuis l'épisode du Luxurious Club où Darren Roller a boulversé la tranquilité apparente de Los Angeles, rien ne va plus. Dieu a réussi à calmer les esprit et a même promu John Silver comme un de ses bras droit, innocenté. Mais Darren, lui même promu en bras gauche de Satan. Autant dire que l'ambiance est lourde au dessus de la Cité des Anges et que la guerre entre le Bien et le Mal est plus que jamais palpable ...

(Inspiré librement par le livre Sept Jours Pour Une Eternité de Marc Levy.)